
L'Homme sur l'eau
Pour revenir à notre problématique, nous allons littéralement nous intéresser à la possibilité que l’Homme à de marcher sur l’eau.
Lors de la comparaison du mélange de farine de maïs et d’eau avec les autres mélanges, nous avons abordé le fait que l’Homme puisse flotter sur l’eau quand il est en position horizontale. Nous allons nous appuyer sur les choses que nous avons expliqué jusqu’ici, qui n’étaient en quelque sorte que la préparation de cette partie.
Nous avons montré que la flottabilité résultait de la poussée d’Archimède et du poids. La différence de poids entre un homme debout et un homme allongé est sa répartition. Le poids d’un homme allongé est réparti dans tout le corps :
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2 bras = 13,2%
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Tête = 7,4%
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Tronc = 41,25%
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Membres inférieurs = 36,6%
Ainsi, lorsque l’Homme se trouve en position horizontale, son poids est réparti dans son corps et équilibré. Cela lui permet de flotter. Cependant certaines personnes ne peuvent pas flotter car elles sont trop lourdes et la poussée d’Archimède n’est pas assez forte pour les faire flotter. Dans la position verticale, le poids de l’homme est en quelque sorte dans les pieds. Il n’y a qu’un axe (voire illustration), ainsi la force est trop forte et l’Homme ne peut flotter. De plus, lorsqu’un Homme est debout, il s’appuie seulement sur ses pieds. Il n’est donc pas aussi stable que lorsqu'il est allongé sur l’eau ou lorsqu'il se place debout sur une planche de surf par exemple. Les conditions pour que l’Homme puisse marcher sur l’eau sont :
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posséder de plus grands pieds, afin d’augmenter sa stabilité
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changer l’emplacement de notre centre de gravité pour modifier la répartition du poids
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changer notre poids, une autre option qui nous assurerait la flottaison
Toutes ces conditions sont pour le moment irréalisables.
Pourtant, nous avons essayer de marcher sur notre mélange.

On a marché sur notre mélange !
On a marché sur notre mélange !

